lundi 19 mai 2008
1
19
/05
/mai
/2008
21:15
...se sont refermees derriere moi ce soir. Je dirais meme qu'elles ont claque dans le blizzard.
J'ai assiste a mon dernier cours de grec ancien, qui consistait en l'examen final suivi de quelques lectures diverses et variees en grec attique, Homerique, et incomprehensiblique.
La rarefaction des eleves dans ce cours a atteint des proportions inegalees, avec seulement trois courageuses en plus de moi ce soir pour affronter le grand examen.
A noter que toute cette histoire ne se finit pas comme je l'imaginais... en janvier je pensais que lors des derniers cours en mai (ces jours-ci donc), j'irais a Harvard en chantonnant, bouquin de grec sous le bras et pull jete sur l'epaule, dans la chaleur de charmantes soirees printanieres et/ou pre-estivales, en admirant les jupettes courtes et colorees que les americaines, plus ou moins grosses, affectionnent. La verite, c'est que ce soir en sortant pour la derniere fois du Sever Hall, au coeur du vieux campus de Harvard, j'ai reboutonne mon manteau jusqu'en haut, tandis que la temperature de dix degres combinée a une charmante petite brise aboutissait a un ressenti de cinq degres (d'apres mon pote weather.com). Gla gla.
Autant dire que cette annee le temps est copieusement pourri. La planete se rechauffe, peut-etre, mais en tout cas pas a Boston !
J'ai assiste a mon dernier cours de grec ancien, qui consistait en l'examen final suivi de quelques lectures diverses et variees en grec attique, Homerique, et incomprehensiblique.
La rarefaction des eleves dans ce cours a atteint des proportions inegalees, avec seulement trois courageuses en plus de moi ce soir pour affronter le grand examen.
A noter que toute cette histoire ne se finit pas comme je l'imaginais... en janvier je pensais que lors des derniers cours en mai (ces jours-ci donc), j'irais a Harvard en chantonnant, bouquin de grec sous le bras et pull jete sur l'epaule, dans la chaleur de charmantes soirees printanieres et/ou pre-estivales, en admirant les jupettes courtes et colorees que les americaines, plus ou moins grosses, affectionnent. La verite, c'est que ce soir en sortant pour la derniere fois du Sever Hall, au coeur du vieux campus de Harvard, j'ai reboutonne mon manteau jusqu'en haut, tandis que la temperature de dix degres combinée a une charmante petite brise aboutissait a un ressenti de cinq degres (d'apres mon pote weather.com). Gla gla.
Autant dire que cette annee le temps est copieusement pourri. La planete se rechauffe, peut-etre, mais en tout cas pas a Boston !
Publié par ZPP
-
dans
blogston