Nous prenons un petit coucou pour voler quinze minutes depuis Ambergris Caye jusqu'a l'aeroport international de Belize City. Ma voisine est une americaine massive qui a bien du mal a attacher sa ceinture au depart... puis a s'extraire de son siege a l'arrivee.
L'attente de notre decollage pour Miami a l'aeroport Philip Goldson est penible. Nous sommes des centaines a etre parqués dans un hall bondé, ou les seules options pour manger sont des echoppes de sandwichs douteux et de donuts a limite du comestible. Je ne vous parle pas de l'etat des toilettes. ZPP, toujours prompt a se plaindre. La pauvre C2 subit en silence. A la fin cela revient au meme : nous decollons a l'heure.
A Miami cela ne se presente pas mieux (ah si, les toilettes sont propres !). Je n'ai jamais vu autant de monde aux controles d'immigration. Jamais. Queue apres queue apres queue, des employés débordés, peu ou pas d'explication sur la marche a suivre. Nous avons du bol de savoir a peu pres ce qu'il faut faire (tapoter ces machines pour repondre NON a une serie de questions, obtenir un papier avec notre photo toute moche en noir et blanc, aller presenter ca a un officier d'immigration) car je pense qu'a l'heure ou je redige cet article certains touristes sont encore en train d'attendre ou de recommencer une queue car ils ont sauté une etape cruciale.
Comme d'habitude ZPP rale, ZPP stresse, mais nous sommes a l'heure pour monter dans l'avion pour Boston, nos bagages nous ont suivi, etc. Je retrouve un peu le sourire a bord du Miami-Boston car je peux suivre le foooooot ! Comment ? Astuce astuce... mais chut, ne le repetez pas ! Normalement pour profiter d'internet en vol il faut payer, de $7 de l'heure a $19 pour le vol complet. Une des facons d'acheter un tel 'pass' est d'utiliser l'application du fournisseur de wifi, que je n'ai pas sur mon iphone. Lorsque je lance le telechargement de ladite application (ce qui m'est proposé sur la page d'accueil du reseau wifi de l'avion), je m'apercois que cela me donne acces a internet, sans restriction. Oh ! Ah ! Ha ha ha ! Vite vite j'ouvre un browser et je google pour suivre le score du match de foot. De temps en temps la connexion s'interrompt. Pas de probleme, je supprime l'application telechargée, je retourne sur la page d'accueil du wifi de l'avion et je selectionne a nouveau "telecharger l'application". Ce qui me redonne acces a internet ! Quel renard, je suis fier de mon coup. Cela me permet de suivre la domination des New England Patriots sur les Tennessee Titans. Ouf.
Une fois a Boston je guette par la fenetre du taxi qui nous emmene a la maison, anxieux d'evaluer la quantite de neige qui a reussi a tenir depuis la tempete de la semaine derniere. Nous roulons, roulons, rien, je ne vois pas de blanc. Tout a fondu ? Non ! Pas dans notre rue et encore moins chez nous, evidemment. chick.run a fait un boulot formidable en notre absence, et nous avons donc une grande partie du driveway degagée. Mais il reste des zones recouvertes d'une epaisse couche de neige glacée. Grrr... et bah on verra demain. Allez ce soir on se dit qu'on est encore en vacances, apres un voyage formidable qui s'est déroulé comme prevu au micro-poil. Ou va nous emmener notre passion pour les ruines mayas la prochaine fois ?
Et maintenant, le blog...
tout reprendre au debut, article 1/17